Des chiffres, des chiffres!
C'était l'objectif de ce séjour de terrain, comme de tous les autres d'ailleurs: récolter suffisament de données pour avoir des choses à raconter dans mon rapport et ne pas paraître ridicule. Je suis donc allé récupérer les infos des pluviomètres installés par Natura, 11 au total, la plupart situés à plus de 2000m d'altitude et plusieurs heures de marche du bureau... je sature de la marche à pied!
Enfin l'essentiel, c'est que maintenant j'ai 1,5 an de données de pluie bien ayu chaud dans la mémoire de mon portable, et une collègue m'a donné plusieurs mois de relevés de mesures en rivière (profondeur et vitesse de courant) à digitaliser. Je vais donc enfin pouvoir conmmencer l'analyse de ces données, et il est temps car il ne reste plus que 7 semaines de stage!
Je retournerai une dernière fois sur le terrain pour essayer de fignoler le simulateur de pluie que j'ai bricolé et qui est censé me donner des informations sur les vitesse d'infiltration de l'eau dans le sol. Mais pour l'instant, makash, ça ne marche pas! La seule chose que j'ai appris en transportant les bidons nécessaires á l'expérience est comment charger un âne, sous le regard hilare de mes collègues locaux qui se marraient bien devant mon apprentissage, et faisaient des blagues du type "Burro, no seas tan burro" ("eh l'âne, arrête de faire ton âne"). Malheureusement, ils ne m'ont pas appris a le faire obéir, et je me suis retrouvé au retour en train de lui courir aprés pour essayer d'attraper sa corde. Et ça court vite, un âne!

Enfin l'essentiel, c'est que maintenant j'ai 1,5 an de données de pluie bien ayu chaud dans la mémoire de mon portable, et une collègue m'a donné plusieurs mois de relevés de mesures en rivière (profondeur et vitesse de courant) à digitaliser. Je vais donc enfin pouvoir conmmencer l'analyse de ces données, et il est temps car il ne reste plus que 7 semaines de stage!
Je retournerai une dernière fois sur le terrain pour essayer de fignoler le simulateur de pluie que j'ai bricolé et qui est censé me donner des informations sur les vitesse d'infiltration de l'eau dans le sol. Mais pour l'instant, makash, ça ne marche pas! La seule chose que j'ai appris en transportant les bidons nécessaires á l'expérience est comment charger un âne, sous le regard hilare de mes collègues locaux qui se marraient bien devant mon apprentissage, et faisaient des blagues du type "Burro, no seas tan burro" ("eh l'âne, arrête de faire ton âne"). Malheureusement, ils ne m'ont pas appris a le faire obéir, et je me suis retrouvé au retour en train de lui courir aprés pour essayer d'attraper sa corde. Et ça court vite, un âne!

En train d'harnacher Azulejo